Cross The Ages présente MAA, créatrice aux yeux bleus éternels du cœur d’Artellium.

MAA Cross The Ages

Certaines cartes se contemplent et d’autres se vivent.
Avec la carte de MAACross The Ages a franchi la frontière entre art et révélation.
Née de la fusion des pouvoirs d’Arkhel, de Riona et de Sijin, Maa prend les traits d’une très jeune femme , une créature belle et immense dont la candeur fait contraste avec la puissance infinie qu’elle dégage.


Ses yeux, d’un bleu intense et lumineux, semblent murmurer un secret à milles origines.

Ses lèvres demeurent scellées, muettes, mais son geste parle pour elle : empreint de douceur, de gravité, presque maternel. En laissant s’échapper Ghanima, la pierre vibrante, Maa libère une onde qui traverse le monde et fait vibrer jusque le corps de celui qui la contemple.

L’image devient vibration, avec la vision céleste de Maa

La première sensation qui nous interpelle en observant cette carte, c’est la lumière.
Elle ne vient ni du ciel, ni des planètes, mais elle émane du corps de MAA. Sa robe fluide, sertie d’orbes et de poussière scintillante, ondule tel un océan d’étoiles au gré d’un vent invisible. On pourrait presque entendre le froissement délicat de ce tissu astral, qui est semblable au souffle du vent qui vient nous caresser la peau.


Les cheveux longs et argentés de Maa flottent dans les airs comme des fils d’or et de lumière. On les devine soyeux mais certes glacés au contact, comme parcourus par un champ magnétique.
L’ aura ou le charisme qu’elle dégage enveloppe l’espace tout entier d’une chaleur ensorcelante qui se mêle à la profondeur cosmique qui l’entoure.


De sa main, elle semble introduire Ghanima, une petite sphère dont la vibration irradie toute l’image. On la perçoit et on la ressent comme une pulsation profonde, un écho semblable aux battements d’un cœur. Elle palpite, elle respire, elle appelle.


Sous elle, les planètes semblent être entraînées dans une danse céleste aux reflets de turquois et d’encre. On croirait contempler un océan galactique, où résonne le clapotis muet des astres glissant dans le fluide de l’éternité.

MAA et les lunes d’Artellium, sœurs de destinée

Suivant le courant cosmique qui s’étend au pieds de MAA, les trois lunes se révèlent, telles de petites sphères, ou de vraies perles en suspension dans un océan d’étoiles. Karas diffuse une lueur verte et profonde, semblable à une forêt qui émerge de la lumière. Regel brille d’un bleu limpide, pur et cristallin, comme un reflet d’eau glacée. Balor, plus petite et brune, paraît lourde et dense, semblable à de la roche tout au fond des abysses.


Leur danse est silencieuse mais palpable. On a l’impression d’entendre une résonance sourde, comme le battement d’un tambour enfoui sous les eaux. Dans cette scène, elles semblent fixer MAA avec l’impatience d’enfants attendant leur sœur. Une tension douce, presque joyeuse, emplit l’air : comme un parfum d’attente, de promesse sur le point d’éclore, comme si leur cycle ne pouvait s’accomplir qu’avec l’arrivée de leur quatrième sœur.

MAA Cross The Ages

Ghanima et ses secrets...

Ghanima n’est pas juste une sphère de lumière. C’est une substance vivante. Tel un charbon ardent, sa surface embrase l’air, tandis que son énergie rappelle à la fois l’eau fluide et l’air en mouvement. Elle vibre et palpite, au point que tous nous ressentons ce frisson courir le long des bras de Maa, traverser sa poitrine, et emplir ses poumons d’une respiration aussi envahissante qu’apaisante. Son éclat doré inonde l’espace de chaleur, mais il porte aussi une résonance intime, presque maternelle, qui vient se lover dans le ventre.

MAA lui adresse des mots sans voix : « Va, maintenant. Tes sœurs t’attendent… Ghanima. »


C’est là que s’imposent certaines questions :

Ghanima est-elle une nouvelle lune ? Ou alors, est-elle une lune oubliée ? Est-elle destinée à rejoindre Karas, Regel et Balor ? Est-elle la source originelle de la création du monde d’Artellium ? Ou bien celle de l’essence même du Pranah ? ce souffle vibrant qui relie tout ce qui fut et ce qui sera!


Toutes les hypothèses semblent tangibles. Pourtant, le secret demeure, il règne comme un parfum insaisissable dont la présence se devine sans jamais pouvoir être saisie.

MAA, enfant à la taille incommensurable ou Créatrice d’univers ?

Son visage d’enfant contient la douceur et la fragilité de l’innocence d’un enfant.
Mais dans sa posture et les courbes de son corps couvrant le ciel et la terre, il y a la majesté d’une créature qui est une force génératrice.

Sa peau est imprégnée de lumière, et une chaleur douce semble émaner de ses gestes. Elle a l’air fragile et forte à la fois, et pourtant chacun de ses mouvements contient une puissance de création infinie.


Est-elle à l’origine de tout ? Est-elle la source des mondes d’Artellium ? Ou encore l’incarnation de la nature, celle qui fait croître et respirer toute chose ? Ou bien une enfant éternelle, témoin du temps qui recommence sans cesse ?


À travers l’illustration de MAA, c’est l’humanité qui se reconnaît. Nous sommes fragiles, mais vastes. Nous sommes éphémères, mais éternels. Et en elle, se révèle le miroir de ce paradoxe.

À travers l’illustration de MAA, l’artiste Eraknote et l’équipe artistique de Cross The Ages ont cherché à représenter le reflet de notre propre humanité. Fragiles et pourtant immenses, éphémères et malgré tout, porteurs d’éternité, nous retrouvons en elle le miroir vivant de ce paradoxe.

Une éMAAtion pure…

Contempler cette carte dépasse le simple plaisir des yeux, c’est une expérience physique. Un frisson qui parcourt le dos, le long de la colonne vertébrale. Un sentiment de satisfaction comble la poitrine, et serre la gorge face à tant de beauté. L’air lui-même en vibre ...

Le travail d’Erak Note va au-delà de l’illustration d’une carte, il engendre une atmosphère presque spirituelle. Chaque trait, chaque éclat, chaque filament lumineux devient une note dans une symphonie sensorielle qui émeut le spectateur.

MAA n’est pas qu’une carte. Elle est un souffle, une vibration. Celle du mystère de nos origines.

MAA… le point de départ d’Artellium ?

Chercher à comprendre qui est MAA, c’est se heurter à une évidence. Ce qui importe ici ne réside ni dans la puissance ni dans la valeur de la carte, mais dans sa rareté profonde : celle d’un commencement. Nous sommes témoins d’une genèse, peut-être du premier battement de cœur de l’univers de Cross The Ages.


La scène résonne comme un Big Bang muet. Dans la paume de cette créature, le vide se peuple de lumière ; lunes, soleils et planètes trouvent leur ordre. C’est l’instant sacré où le néant s’efface devant le Pranah.


Ainsi, MAA n’est pas qu’un personnage. Elle est l’acte de naissance d’Artellium, l’étincelle qui engendre les mondes, la matrice vivante d’un cosmos en devenir.

Et quand Ghanima s’élève de ses doigts, l’évidence se dévoile : ce n’est pas seulement l’univers d’Artellium qui prend vie, mais peut-être tous les univers possibles.


« Un cœur de tout corps, un corps de tout cœur. »

The Artellium Post

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